Funérailles : John BARRY
Terrassé par une crise cardiaque
Le compositeur britannique de musique de film, Jonathan Barry PRENDERGAST s'est éteint dimanche 30 janvier 2011 à 77 ans, fauché par une crise cardiaque dans son domicile de Glen Cove à New York. Fils d’un administrateur de chaine de cinéma, Jack Xavier PRENDERGAST et d’une mère nantie de grands talents musicaux, John BARRY vient au monde le 3 novembre 1933 à York en Angleterre. Il se destine à suivre les traces de son père en tant qu’administrateur. Mais c’est la passion de la musique qui l’emporte un peu plus tard. Marié quatre fois, ses trois premiers mariages avec : Barbara PICKARD (1959-63) ; Jane BIRKIN (1965-68), et Jane SIDEY (1969-1978) se sont terminées par un divorce. En 1978, il a été marié à Laurie, une union qui dura jusqu'à sa mort. Le couple a eu un fils, Jonpatrick. Par ailleurs, il est aussi le père de trois filles : Suzanne avec sa première épouse, Kate avec sa seconde épouse, et Sian, le fruit d'une relation avec Ulla LARSON.
Adam IKX de Purepeople.com parle de la disparition « du grand John BARRY, mythique compositeur de musiques de film toutes plus légendaires les unes que les autres, et homme aux cinq Oscars à Hollywood » dans son article faisant part de son décès.
Je m'appelle Barry, John Barry
De son côté, Yannick VELY de Paris Match, dans son article « John BARRY, la mort d'un grand compositeur » souligne qu’« on a tous siffloté un jour du John Barry, chantonné dans sa douche les grands airs de sa carrière ou tout simplement eu comme sonnerie de portable le fameux thème d’« Amicalement vôtre » ».
Dans son article relayant l’annonce de son décès, Libération revient brièvement sur la carrière et le parcours du « célèbre compositeur des James Bond ». L’Express avec son article intitulé « John BARRY, compositeur de Goldfinger, est mort » rapporte que « ce musicien britannique, venu du jazz avait notamment remanié le thème de James Bond, devenu entre ses mains un classique de la bande originale de films ».
Stéphane JARNO de Télérama annonce son décès via l’article « Son nom était BARRY, John BARRY ». Il y évoque le parcours et la carrière de ce « monument avec des allures de légende et un parcours unique dans les annales de la musique de film ».
Pour sa part, La Croix le avec son article intitulé « L'agent 007 pleure John BARRY » un clin d’œil à celui qui est « pleinement associé aux succès cinématographiques de l'espion de Sa Majesté, de 1962 à 1987 ».
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