Carnet

Tél 09 70 44 96 35

Un service client à votre écoute

7J / 7, de 9h à 18h (appel local non surtaxé)

509 journaux et éditions
Commandes 24H sur 24, 7 jours sur 7

Publiez un avis dans la presse

Registre des décès en France depuis 1970.
Plus de 26 millions de résultats (Insee)

En consultation gratuite

Recherchez un avis de deces

Hommages : Alain DISTER

Hommages : Alain DISTER 25 décembre 1941 - 2 juillet 2008
01/10/2015

Le journaliste et photographe français est mort

Alain DISTER meurt le 2 juillet 2008 à Paris. Il voit le jour à Lyon le 25 décembre 1941. Il est l'auteur de nombreux ouvrages concernant le rock. Il a travaillé pour le magazine spécialisé Rock & Folk. Son ouvrage, « Oh hippie, days ! », rend compte de l'Amérique de la fin des années 1960, qu'il a lui-même vécue, avec une touche de « Beat Generation ». Photographe, notamment connu pour ses photographies du monde du rock'n'roll et des États-Unis des années 1960, il a exposé ses œuvres dans divers musées et galeries à travers le monde. Il était producteur pour France Culture et critique d'art pour la revue Connaissance des arts. Il vivait et travaillait à Paris et en Bourgogne.

Trip Hippie... 

François GORIN de Télérama annonce son décès en publiant l’article « Goodbye Mister DISTER ». Il y est rapporté qu’« Il n'était jamais vraiment revenu du trip hippie… Alain DISTER, journaliste, écrivain et photographe, était tombé amoureux de l'Amérique au point d'en parcourir les routes d'une côte à l'autre, côtoyant Frank ZAPPA, Janis JOPLIN ou Jimi HENDRIX. Il est mort hier, à Paris, à l'âge de 66 ans ». Par ailleurs, l’article souligne que « « Critique de rock… fichu métier ! » écrit-il au début de la préface d'un recueil de chroniques paru l'an passé. Il a été l'un des seuls à l'exercer en pouvant dire : j'y étais. A 25 ans, il quitte sa banlieue pour l'Amérique. On est en 1966. Bientôt ce sera San Francisco, l'efflorescence californienne. DISTER se fait hippie chez les hippies, rencontre Frank ZAPPA, Janis JOPLIN. Les souvenirs de cette époque ont été collectés dans « Oh, hippie days ! » ».

Collaborateur de « Connaissance des Arts »

Pour sa part, Guy BOYER du site web Connaissance des Arts fait part de son décès via l’article intitulé « Décès d'Alain DISTER ». Il y est annoncé que « Collaborateur de « Connaissance des Arts » depuis plusieurs années pour la photographie, le journaliste, écrivain et photographe au blouson de cuir noir, Alain DISTER, est mort hier à l'âge de 66 ans. Rockeur jusqu'au bout des santiags, il avait débuté sa carrière au milieu des Sixties sur la côte ouest des Etats-Unis. Il écrit et il photographie ».

Dans son article « Alain DISTER passe backstage », Max ARMANET de Libération annonce que « « Cool man, so cool »: le commentaire du jeune Alain DISTER découvrant la maquette de Purple Haze, que lui passe l'auteur du 45 tours Hey Joe. La rencontre avec Hendrix, à l'orée de 1967, s'inscrit dans le mode de vie qu’il vient d'épouser à San Francisco. Reporter de la révolution psychédélique en cours, il conjugue engagement musical et politique, attention au public et aux musiciens. Une profession de foi qu'il vivra, jusqu'au 2 juillet 2008, 4 heures du matin, où il a quitté ce monde, bloc-notes à portée de main. Nomade, pionnier infatigable, il est à l'affût des bouleversements ».

Ajouter un message