Disparition : Pierre SAINDERICHIN
Les obsèques de Pierre Sainderichin
Naissance : 23 mars 1918 à Stockholm (Suède)
État civil : Pierre SAINDERICHIN est un célèbre journaliste français de presse écrite, de radio et de télévision. Il est le mari de la journaliste Ginette SAINDERICHIN, qui a fondé et dirigé le magazine Gap avant d'être rédactrice en chef du Jardin des Modes. Il est né à d'un père belge et d'une mère Française. Il effectue ses études à Paris, aux lycées Buffon et Condorcet, puis à la Faculté des Lettres de Paris. Diplômé de l'École des hautes études sociales, il débute dans le journalisme en 1937. Il fait ses premières armes à La Tribune des Nations, Paris-Soir Dimanche et dans diverses publications pour la jeunesse.
Décès : 14 avril 2012 à Levallois-Perret
Pierre SAINDERICHIN est mort à 94 ans, à l'hôpital franco-britannique de Levallois-Perret (Hauts-de-Seine). Ses obsèques sont célébrées au crématorium du Père Lachaise, mais ses cendres sont inhumées en Dordogne.
La presse en parle...
Le journal Sud Ouest annonce son décès avec l’article intitulé « Pierre SAINDERICHIN, une plume avisée ». L’article rappelle qu’il a été « longtemps éditorialiste et responsable des services parisiens de « Sud Ouest ». Non seulement de nombreux lecteurs se souviendront de ses articles quasi quotidiens publiés de 1946 à 1974, mais encore les téléspectateurs se rappelleront peut-être de l'émission qu'il produisait avec son frère jumeau, « Au-delà de l'écran », qui racontait les coulisses de la télé en noir et blanc ».
Pour sa part, Marie-Eve CONSTANS de France 3 publie sur le site de la chaine l’article : « Décès à 94 ans de Pierre SAINDERICHIN ». Elle y rapporte que le défunt est l’« ancien chef des services politiques de Sud-ouest et France-Soir, et ancien résistant ». Par ailleurs, son parcours est rapporté tout au long de l’article.
Dans son article annonçant son décès, le Parisien évoque la disparition « du journaliste ancien chef des services politiques de Sud-Ouest et France-Soir, et ancien résistant ». L’article souligne ses actions durant la résistance.
De son côté, Le Monde évoque qu’il a « fondé et codirigé, avec son frère jumeau Sven, « Forces françaises », le journal clandestin de l'Armée secrète du secteur Dordogne, devenu ensuite l'organe officiel des Forces françaises du front de l'Atlantique » dans son article relayant l‘annonce de son décès. L’Humanité en fait de même dans son article intitulé « Décès du journaliste et résistant Pierre SAINDERICHIN ».
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