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Georges CLEMENCEAU

Georges CLEMENCEAU 28 septembre 1841 - 24 novembre 1929
01/10/2015
  • Naissance : 28 septembre 1841 à Mouilleron-en-Pareds (Vendée)
  • État civil : Georges CLEMENCEAU est un homme d'État français. Il est le second de ses six enfants progénitures de Benjamin CLEMENCEAU, médecin et de Sophie GAUTEREAU. En 1865, il s’embarque pour les États-Unis. Il trouve un poste d’enseignant dans un collège pour jeunes filles à Stamford (Connecticut) où il donne des cours de français et d’équitation. CLEMENCEAU s’éprend alors d’une de ses élèves, Mary PLUMMER, qu’il épouse au civil le 20 juin 18693. Le couple aura trois enfants, dont Michel CLEMENCEAU, né en 1873. Il divorcera en 1891 pour une affaire d’adultère.
  • Décès : 24 novembre 1929 à Paris
  • À 88 ans, Georges CLEMENCEAU est frappé par une crise d'urémie. Il meurt après trois jours de maladie à l'aube, à son domicile de la rue Franklin à Paris.
  • Dans son testament daté du 28 mars 1929, il exprima : « Pour mes obsèques, je ne veux que le strict minimum, c'est-à-dire moi ».
  • Sur son lit de mort, Georges CLEMENCEAU, voyant arriver un prêtre dit « Enlevez-moi ça ! »
  • Son exécuteur testamentaire était son vieil ami Nicolas PIETRI.
  •  Le lendemain de sa mort, conformément à son testament, qui excluait tout « cortège ni cérémonie d'aucune sorte », son corps, auprès duquel avait été placé selon ses instructions l'humble bouquet que lui offrirent en Champagne le 6 juillet 1918 deux soldats d'avant-poste promis à la mort, fut transporté dans sa voiture. Et à 12 heures 30, sa dépouille arriva à Mouchamps (Vendée), au « bois sacré » où reposait depuis 1897 son père.
  • Il fut porté en terre par son chauffeur BRABANT, son valet de chambre Albert BOULIN, deux fossoyeurs et deux paysans, dans une grande simplicité, celle des funérailles protestantes traditionnelles.
  • La copie de La Minerve casquée dite « de Samos » par Sicard surplombe les deux sépultures jumelles, sans dalles ni inscriptions, seulement entourées de grilles ombragées par un grand cèdre de l'Atlas, « arbre de La Liberté » planté en 1848 par son père.
  • Par décision ministérielle du 15 juillet 1998, les deux tombes, la stèle et l'allée d'accès ont été inscrites à l'Inventaire supplémentaire des Monuments historiques.

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