Jacques BAR

Le producteur de cinéma français, Jacques BAR meurt à 88 ans, le 19 janvier 2009 à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine). Né le 12 septembre 1921 à Châteauroux (Indre), il a produit notamment des classiques comme Le Passe-muraille, des films avec Fernandel comme L'Ennemi public numéro un, Honoré de Marseille et Heureux qui comme Ulysse et des films avec Jean GABIN comme Le Président, Le Cave se rebiffe, Un singe en hiver et Mélodie en sous-sol. Il a mené l'une des carrières les plus fertiles du cinéma français, puisque plus d'un demi-siècle sépare La Maternelle d'Henri DIAMANT-BERGER (1949) du sketch d'Eros réalisé par Michelangelo ANTONIONI (2004). Notons que fondateur de la société Cité Films, il a produit plus de 80 films.

• Pure People annonce son décès en publiant l’article « Jacques BAR, le producteur entre autres de Gérard DEPARDIEU et Jean GABIN, est décédé ». Il y est rapporté que « Jacques BAR, producteur de renom qui a entre autres produit My Father, ce Héros ou Un pont entre deux rives avec Gérard DEPARDIEU, s'est éteint hier, à l'âge de 87 ans ». Par ailleurs, l’article souligne que « Grande figure du cinéma français il a mené une longue et riche carrière, avec la société Cité Films dont il est le fondateur. Après Claude BERRI il y a quelques jours, le paysage audiovisuel français perd encore l'un de ses importants membres ».
• Pour sa part, Allo Ciné fait part de son décès via l’article intitulé « Décès de Jacques BAR ». Il y est annoncé que « Le producteur français est décédé le 19 janvier, à l'âge de 87 ans. Avec près de 80 films à son actif, l'on retiendra de ce producteur de renom des films tels que « Mélodie en sous-sol », « Les Félins », « My father ce héros » ou encore « Un pont entre deux rives » ».
• Dans son article « Le producteur Jacques BAR est mort », Gwen DOUGUET du site web Tout Le Ciné annonce qu’« Il avait 88 ans : Jacques BAR est mort le 19 janvier. Producteur de renom, il a inscrit son nom au cœur d'innombrables génériques. Sans lui, Mélodie en sous-sol (notre photo) n'aurait pas le même son. Avec Jacques BAR, le cinéma français perd l'une de ces figures de l'ombre qui sont pourtant marquantes. Il appartient à la famille des grands producteurs ».